L’église

Cette église est placée sous le patronage de Saint-Étienne. On y pénètre directement sans porche. Un bénitier, à droite est encastré dans le mur.
Le plafond du coeur et bleu, semé d’étoiles. Au fond de celui-ci, éclairé par deux fenêtres en verre coloré le triangle : mystère de la Trinité avec l’oeil de Dieu et une statue du saint patron sous laquelle se trouve une plaque de verre marquée SIONVILLER – ST ETIENNE.

 

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À gauche se trouvent une statue de l’Enfant Jésus de Prague et un tableau en relief représentant la Dernière Cène, signée Juan de Juanès.
A droite, la statue de Saint-Joseph tenant l’enfant avec le lys, et au dessous, un bras contenant une relique.

L’hôtel est en bois galbé, sans autre ornement. La lampe du Saint-Sacrement est à gauche, à l’entrée du choeur.

La table de communion est restée intacte, avec le calice et l’hostie rayonnante, les épis et grappes de raisin, le Livre avec les sept sceaux, les instruments de la Passion et l’inscription INRI.
Les autels latéraux sont en bois peint imitation marbre avec colonne de chaque côté.
A gauche, Notre-Dame du Sacré-Coeur tenant l’Enfant Jésus, une photo de Notre-Dame de Monligeon et une photo du Pape Jean XXIII. Sur le mur est apposé une plaque rappelant les noms des trois victimes de la Grande Guerre.
A droite, la statue du Sacré-Coeur.

La nef dont le plafond en bois a été refait récemment est éclairée par quatre fenêtres en verre coloré. A gauche se trouve une statue de Ste Thérèse et, à droite, celle de Notre-Dame de Lourdes. Au fond de l’église, les fonds baptismaux avec une vierge en bois mutilée.

Le cimetière jouxte l’église sur son côté gauche.
On pénètre dans le clocher par l’intérieur de l’église. Il est en bois, recouvert d’un matériau imitant l’ardoise.

D’après l’Abbé GOUVY, Jeannine HENRI et Colette MEYER